Les guillemets | Encadrent les paroles prononcées. | On lui cria : « Viens par ici ! » |
Le tiret | Marque un changement de personne. | « Qu’est-ce que tu fais ? – Je m’ennuie. – Viens avec moi ! » |
La virgule | Sépare les paroles du verbe de parole placé après. | « Tu viens ? », lui demande-t-elle. |
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En début de phrase, après un point (ou les deux-points dans un discours direct). | Tu viens ? N’oublie pas ton écharpe. Il fait froid. La sorcière ordonna : « Ouvre le four ! » |
En début de vers dans un poème. | La cigale ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue… |
Au début des noms propres, des noms de nationalités (mais pas d’un adjectif). | La Serbie. Madame Gastrin. Un Péruvien (mais : un homme péruvien) |
Au début des titres d’œuvres et des titres et fonctions des personnes. | L’Odyssée d’Homère. Madame la Ministre |
Accent aigu -é- | Indique un [e] fermé (entre le [e] et le [i]) | Les prés ont été fauchés cet été. |
Accent grave -è- | Indique un [e] ouvert (entre le [e] et le [a]). | Ma mère aime ce poème. |
Note : le -e- ne prend pas d’accent quand il est suivi d’une consonne double (cette belle terre) ou de la lettre -x- (exister, excellent). | ||
Accent circonflexe -â-, -ê-, -ô- | Indique que la lettre était auparavant suivie d’un ‑s‑. | Forêt (pensez à forestier). |
Note : -i- et -u- ne prennent plus d’accent circonflexe, sauf dans les terminaisons verbales et pour éviter une confusion entre homophones (mûr/mur). | ||
Tréma -ë-, -ï-, -ü- | Indique que le son se prononce séparément de la lettre précédente. | Noël ≠ nœud Naïf ≠ il nait |