Soient trois entiers a, b et c. On dit que a divise b lorsqu’il existe un entier relatif k tel que b=k×a.
On note a∣b. De plus, si a∣b et a∣c, alors, pour tous entiers m et n, a∣(mb+nc). Cela permet de :
✔ déterminer les diviseurs d’un entier ;
✔ montrer qu’un entier b est divisible par un entier a ;
✔ déterminer des solutions entières d’équations en se ramenant à une équation du type A×B=C où les diviseurs de C sont connus ;
✔ déterminer les diviseurs communs à deux entiers.
2
Soient deux entiers a et b avec b strictement positif. Effectuer la division euclidienne de a par b, c’est déterminer l’unique couple d’entiers (q;r) tel que a=bq+r et 0⩽r<b. Cela permet de :
✔ raisonner par disjonction de cas pour établir une divisibilité ;
✔ résoudre des problèmes de codage (clé de contrôle).
3
Soient deux entiers relatifs a et b, et m un entier naturel non nul. a et b sont congrus modulo m lorsqu’ils ont le même reste dans la division euclidienne par m. On note a≡b[m] . De plus, a≡b[m]⇔m∣(b−a). Cela permet de :
✔ établir les propriétés sur les congruences (compatibilité avec l’addition et la multiplication) ;
✔ établir un test de divisibilité ;
✔ étudier des problèmes de chiffrement ;
✔ résoudre une équation du type ax≡b[m].