Quand le climat se réchauffe, le milieu est modifié. Les espèces les plus sensibles ne peuvent survivre que dans un milieu et une zone climatique particuliers. Si ces espèces ne peuvent pas se déplacer rapidement quand leur milieu se modifie, elles disparaissent.
Les zones de pêche sont toujours plus étendues en surface et en profondeur. Seulement 10 % des poissons pêchés sont consommés. Le reste correspond à des prises accidentelles ou non exploitables. Par exemple, pour 1 kg de crevettes pêchées, 8 kg d’organismes marins sont rejetés en mer.