Ensemble des ressources rivales (leur utilisation par un agent empêche leur utilisation par un autre agent) mais difficilement excluables (on ne peut pas empêcher un agent de l’utiliser).

Ensemble des coûts supportés à l’occasion d’une activité économique donnée. En cas d’externalités, le coût social est égal au coût privé de la firme plus le coût externe.

Augmentation durable et soutenue des richesses produites dans un territoire. Cet accroissement est mesuré à l’aide du taux de variation du PIB.

Théorie marginale qui défend un modèle de développement alternatif fondé sur une baisse durable du niveau de production. Cette théorie repose sur l’idée qu’il n’est pas possible de faire croître indéfiniment la production dans un monde fini (capital naturel limité).

Ensemble des transformations économiques, sociales, politiques et démographiques qui permettent à une population de subvenir à ses besoins essentiels.

Développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.

Mesure de la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles. Exprimée en hectares par personne et par an, elle évalue la surface théorique nécessaire à une population pour répondre à sa consommation et à ses besoins d’absorption de déchets.

Il y a externalité quand l’activité de consommation ou de production d’un agent a une influence sur le bien-être d’un autre agent, sans que cette interaction ne fasse l’objet d’une transaction économique.

Taxe pigouvienne faisant payer les pollueurs à proportion de leurs émissions de CO2. En France, la Contribution climat énergie (CCE) est une forme de taxe carbone, mais nous n’avons encore aucun recul sur son efficacité.

Taxe visant à internaliser les externalités négatives (par exemple, la pollution), autrement dit à faire en sorte que le coût social soit égal au coût privé de la firme. Synonyme : taxe Pigou.