Écosystème agricole artificiel modifié ou créé et géré par l’Homme afin de satisfaire des besoins alimentaires, industriels ou énergétiques. On parle d’élevage dans le cadre d’une production animale ; de culture pour une production végétale.

Diversité des espèces, de leurs milieux et de leurs gènes.

Masse de matière organique d’un être vivant ou quantité de matière vivante (organique) dans un écosystème (en tonnes par hectare (t.ha^-1)).

Nature et quantité des constituants d’une solution (ou autre).

Modèle de développement conciliant les aspects écologiques, sociaux et économiques, dans le but d’assurer le présent sans compromettre l’avenir.

Substances minérales (N, P, K) ou organiques visant à apporter aux plantes les éléments nutritifs nécessaires à leur bon développement et à son amélioration afin d’accroître le rendement et la qualité des cultures.

Ensemble de phénomènes qui retirent tout ou partie des terrains existants.

Pollution d’un écosystème aquatique par des matières nutritives qui provoquent une prolifération d’algues, provoquant notamment (après leur mort et leur décomposition partielle) une accumulation de matière organique dans les sédiments (pouvant mener au comblement de l’étendue d’eau).

Ensemble de gaz (vapeur d’eau (H₂O), dioxyde de carbone (CO₂), méthane (CH₄), ozone (O₃), etc.) présents dans l’atmosphère, qui participent à l’accroissement de la température par absorption des rayonnements infrarouges.

Place d’un être vivant au sein du réseau trophique (ensemble de chaînes alimentaires au sein d’un écosystème).

Organisme obtenu après insertion, par transgénèse (technique de transfert d’un gène), d’un gène (transgène), issu d’une espèce donneuse et apportant un nouveau caractère à l’espèce receveuse afin de l’améliorer.

Substances destinées à protéger les végétaux contre tous les organismes nuisibles, en traitement ou en prévention. Ils permettent ainsi de limiter les pertes de production.

Une eau est dite potable si elle est sans danger pour le consommateur et qu’elle ne lui procure pas de déplaisir.

Rapport entre la masse de matière (ou d’énergie) produite et celle qui a été fournie à l’agrosystème.