Terme forgé par l’historien Georges Mossé. Désigne le processus par lequel la violence physique et psychologique subie pendant la guerre engendre chez les soldats et les civils des comportements brutaux.

Les camps de concentration sont des camps pour opposants, « asociaux », résistants et Juifs où on meurt au travail, de maladie, d’épuisement et de mauvais traitements.
Les camps d’extermination servent à détruire industriellement des populations entières (Juifs et Tsiganes) dans des chambres à gaz.

Terme défini par le tribunal de Nuremberg, désignant « le génocide, la déportation, la réduction en esclavage ou la pratique massive et systématique d’exécutions sommaires, d’enlèvements, de la torture ou d’actes inhumains inspirés par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux ».

Ensemble des représentations et attitudes qui justifient le conflit en développant une haine à l’égard de l’ennemi identifié comme le Mal.

Droit de bloquer une décision commune à l’ONU.

Groupes d’intervention nazis chargés d’exterminer les juifs et les partisans à l’arrière du front d’Europe de l’Est. Cette extermination a été nommée « Shoah par balles ».

Mot forgé en 1944 pour définir l’extermination systématique et planifiée d’un groupe en raison de ses origines ethniques, religieuses ou sociales. Le terme hébreu « Shoah » (« catastrophe ») est souvent utilisé pour désigner le génocide juif.

Conflit dont les conséquences et les implications touchent l’ensemble des sociétés des pays mobilisés par la mobilisation de tous les moyens humains, militaires et économiques.

Système international dans lequel les États s’engagent mutuellement à garantir la paix et la sécurité mondiales.