Système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et d’échanges, le rôle du marché où s’exerce la concurrence, l’importance de l’initiative individuelle.

Augmentation quantitative de la richesse d’un pays (PIB), n’entraînant pas nécessairement le développement du pays.

Notion définie par l’historien Fernand Braudel comme « un morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l'essentiel de se suffire à lui-même et auquel ses liaisons et ses échanges intérieurs confèrent une certaine unité organique ».

Ensemble des dispositifs d’intervention d’un État dans l’économie et la société, pour protéger les individus (protection sociale) et redistribuer les richesses.

Doctrine économique née en Angleterre fin XVIII^e siècle, qui fait de la non-intervention de l’État,  de la liberté d’entreprendre, du marché libre régulé par la concurrence, des échanges, les conditions de la richesse des nations.

Le libre-échange est une politique supprimant toutes les entraves aux échanges, notamment en abaissant les tarifs douaniers. Le protectionnisme protège la production nationale de la concurrence étrangère, notamment en relevant les tarifs douaniers.

Processus d'accroissement des échanges (marchandises, capitaux, services, informations, personnes) entre les pays du monde.

Courant intellectuel et politique prônant le changement social (remise en cause du capitalisme) par la voie légale et négociée (réformisme) ou par la révolution (marxisme).

Situation d’une économie qui souffre d’une croissance économique faible ou nulle et d’une forte inflation (hausse durable des prix), accompagnée souvent d’un chômage élevé.

Modèle de production de masse mis au point aux États-Unis début XX^e siècle, reposant sur l’organisation scientifique du travail (production/conception), le travail à la chaîne, la standardisation des produits, l’augmentation des salaires faisant des ouvriers des consommateurs.