Esclave à qui on a rendu sa liberté.

Exercice du droit de cité, c’est-à-dire la participation au pouvoir politique.

Pratiques religieuses en l’honneur de l’empereur romain, souvent divinisé après sa mort. Ce culte obligatoire permet d’assurer la cohésion de l’Empire.

Droit concédé par Rome à des régions entières qui permet aux anciens magistrats de devenir citoyens romains.

Au sens politique, régime d’un seul homme, l’empereur, qui concentre beaucoup de pouvoir entre ses mains. Au sens géographique, territoire étendu sur lequel règne un empereur.

Citoyen ayant autorité pour exercer le pouvoir.

Classe sociale élevée à laquelle on accède en étant riche d’au moins 400 000 sesterces, ce qui permet de pouvoir servir comme chevalier dans l’armée. Ses membres bénéficient de privilèges comme la possibilité d’exercer certaines magistratures.

Classe sociale la plus élevée, à laquelle on accède en étant riche d’au moins un million de sesterces. L’appartenance à l’ordre sénatorial est obligatoire pour exercer certaines magistratures.

Homme libre résidant dans l’empire mais n’ayant pas la citoyenneté romaine ou le droit latin.

Circonscription administrative de l’Empire, gérée par un magistrat nommé par l’Empereur ou le gouverneur.

Processus par lequel Rome intègre les provinces conquises en leur étendant le bénéfice de son droit, de sa culture et de son mode de vie.