Répartition et affectation des ressources rares entre des usages alternatifs dans une économie.
Dans le cadre de la concurrence pure et parfaite, cette allocation est optimale, permettant un bien-être maximum à la collectivité et qui résulte de choix décentralisés de chaque agent.

Les asymétries d’information sont l’une des limites du fonctionnement du marché : c’est le fait qu’un agent dispose d’une information meilleure qu’un autre sur un marché et qu’il peut l’utiliser à son profit.

Bien (service) qui peut être consommé par plusieurs agents à la fois.

La demande est la quantité de produit qu’un acheteur (l’ensemble des acheteurs) est prêt à acquérir pour un prix donné. L’offre est la quantité de produit qu’un vendeur (l’ensemble des vendeurs) souhaite céder pour un prix donné.

Pour le titulaire des droits, possibilité d’utiliser, faire fructifier et disposer d’un produit librement. Ex. : habiter, louer, vendre son appartement.

Satisfaction supplémentaire retirée d’un échange.

Ensemble des organisations et normes qui définissent le cadre du fonctionnement du marché et qui protègent/contraignent les agents.

En situation de monopole, il y a un seul offreur face à une multitude de demandeurs pour un produit n’ayant pas de substitut proche. En situation d’oligopole, il y a un nombre réduit d’offreurs face à une multitude de demandeurs pouvant influencer les conditions de marché (ex. : le prix).

Capacité pour un offreur d’influencer le prix de marché.

Le prix d’équilibre est le prix pour lequel l’offre et la demande sont égales. La quantité d’équilibre est la quantité pour laquelle l’offre et la demande sont égales.

Déséquilibre entre l’offre et la demande de produits sur un marché. L’ajustement se fait par les quantités et non par les prix. Rationnement de la demande quand celle-ci excède l’offre ; rationnement de l’offre quand celle-ci excède la demande.

Ensemble des gains réalisés, pour chaque unité de produit consommée, qui résulte de l’écart entre le prix que le consommateur était prêt à payer et le prix (inférieur) du marché.

Ensemble des gains réalisés, pour chaque unité de produit vendue, du fait de l’écart entre le prix que le producteur était prêt à accepter de vendre et le prix (supérieur) du marché.