Genre dramatique musical et chorégraphique inventé par Molière. La comédie-ballet met en scène des personnages ordinaires dans une intrigue simple.

Genre théâtral fondé sur l’improvisation et sur le jeu des masques qui connait son apogée en Europe, du milieu du XVI^e à la fin du XVIII^e siècle.

Dans un texte théâtral, on distingue deux types d’énoncés :

• les didascalies, parties du texte qui ne sont pas destinées à être prononcées sur scène (changements d’actes, indications sur le jeu des acteurs, etc.)
• les répliques (prises de parole des personnages), destinées à être prononcées sur scène.

Caractéristique de l’écriture théâtrale qui fait que les personnages se parlent entre eux tout en s’adressant aussi au spectateur. La double énonciation est particulièrement visible dans le monologue, l’aparté.

Court récit en vers de ton comique voire satirique des XII^e et XIII^e siècles. Le fabliau est un conte pour rire qui illustre une moralité.

À partir du XV^e siècle, très courte pièce d’un comique bas et grossier. Ex. : La Jalousie du Barbouillé de Molière.

Action d’une pièce de théâtre.

Idéal classique qui consiste à vivre et se comporter en accord avec les conventions sociales de son temps.

Le nœud est le point culminant de la pièce, le moment où tous les fils de l’intrigue se rejoignent. Le dénouement de l’intrigue correspond à la fin de la pièce.

La ou les scènes d’exposition sont les premières scènes, qui présentent l’intrigue, les personnages et le cadre spatio-temporel.

Une tirade est une réplique longue. La tirade ralentit le rythme de l’intrigue ; cela correspond à un moment important, où l’attention est centrée sur un personnage qui développe ses pensées.
Un monologue est une tirade prononcée par un personnage seul sur scène.